Test : Mon avis sur le sac de couchage Vaude Sioux 800 S Syn

Après vous avoir présenté mes chaussures Columbia, je veux aujourd’hui faire le tour d’un sac de couchage que j’ai utilisé ces derniers mois.

Il s’agit d’un modèle d’entrée de gamme de chez Vaude, le Sioux 800 S Syn.

Je vous explique en quelques mots pourquoi je suis parti sur ce modèle. J’ai longtemps utilisé un sac de couchage classique de grandes surfaces jusqu’au jour où j’ai ressenti le besoin d’investir un peu dans du matériel plus adapté, en prévision d’un trek (celui de la Soule dans le Pays Basque) que nous avions entrepris de faire en plein mois d’avril.

Il s’agissait bien entendu, de choisir un produit de qualité, surtout plus léger, et avec des capacités thermiques plus intéressantes que celles que j’avais déjà tout en n’explosant pas le budget qui était à l’époque assez restreint il faut l’avouer.

Ma grande priorité était de gagner en poids et en encombrement (mon premier sac de couchage pesait aux alentours de 2 kg pour un encombrement énorme, son sac de transport n’était pas compressible et ses performances thermiques étaient à la ramasse, clairement !), je me suis alors intéressé au modèle intermédiaire de l’entrée de gamme de chez Vaude, c’est-à-dire le Sioux 400 Syn.

De mon point de vue, il rassemblait les critères que je recherchais à court terme et surtout, il pesait à peine 1,01 kg.

À sa réception, j’ai voulu me faire une première idée sur ses capacités thermiques avant de l’emmener avec moi lors du trek, et comme vous allez le voir… J’ai bien fait !

Je l’ai essayé chez moi en pleine nuit, fenêtres ouvertes au mois de mars et sur mon matelas de randonnée.

Par une température moyenne de 10 – 12°, en dormant en T-shirt et caleçon, le froid m’a réveillé à plusieurs reprises dans la nuit… Partant de ce constat, je n’ai pas voulu prendre le risque de l’utiliser en conditions réelles dans la montagne (surtout avec des nuits en dessous de 0° comme nous allons le vivre une fois sur place…).

C’est pour cela que je l’ai renvoyé et que j’ai choisi le modèle au-dessus c’est-à-dire le Vaude Sioux 800 S Syn (S = petite taille, je vous expliquerai en détail pourquoi).

À présent, voici le test approfondi du Sioux 800 S Syn.

Conditions du test :

  • Dans le Pays basque durant trois jours au mois d’avril (température moyenne jour : 25°, température moyenne nuit : -5°)
  • Bivouac au mois de mai dans le Pays basque (température moyenne nuit entre zéro et 5°)
  • Bivouac en juillet/août en Haute-Garonne (température moyenne nuit : entre 10 et 15°)
  • Le test a été fait sous une tente légère double parois (modèle : Vango Zenith 100) et sur un matelas de randonnée épais de 10 cm (Modèle : Camp USA)

Caractéristiques du sac de couchage VAUDE Sioux 800 S Syn :

  • Trois saisons (du printemps à l’automne)
  • Coupe momie près du corps
  • Fabrication écologique et équitable
  • Existe avec l’ouverture à droite ou à gauche
  • Poche intérieure pour ranger les ustensiles les plus importants
  • Capuche ajustable
  • Tissu principal : 100 % polyester, 50 des 300T Ripstop,
  • Tissu doublure : 100 % polyester, 50 des 300T
  • Remplissage : 100 % polyester, fibre Sensofibre 3D
  • Poids : 1450 g (mesurée à 1600 g avec le sac de compression)
  • Poids du garnissage : 800 g (répartis sur 2 couches)
  • Longueur : 200 cm
  • Largeur d’épaules : 75 cm
  • Largeur aux pieds : 50 cm
  • T° confort : 2°
  • T° limite : -3°
  • T° extrêmes : -20°
  • Dimensions du sac de compression : 40 × 25 cm
  • Dimensions de l’ensemble compressé : 30 × 25 cm (données constructeur)
  • Prix constructeur à la sortie : 90 € (mais à beaucoup baissé pour se trouver à moins de 50€ ici)

Infos concernant les procédés de fabrication :

  • Ce sac de couchage Vaude possède les labels Green Shape, Fair Wear Foundation et Eco Finish qui ont tous des significations précises que je vous résume ici :
  • Fair Wear Foundation : il s’agit d’une fondation dont Vaude est un des membres leaders et qui cherche à garantir et à promouvoir des conditions de travail respectables et équitables sur l’ensemble des sites de production.
  • Green Shape : ce label désigne quant à lui, des critères d’évaluation stricts concernant la totalité du cycle de vie du produit en matière de fonctionnalité, d’écologie, de durabilité et d’équitabilité de sa conception jusqu’à sa fabrication sans oublier son utilisation, son entretien et sa réparabilité.
  • Eco Finish : concerne pour sa part les produits fabriqués par Vaude dans le respect de l’environnement et garantie sans PFC (Fluorocarbone).
  • Vous pourrez retrouver plus d’infos à ce sujet sur la fiche produit du site officiel de Vaude.

Il faut savoir également que Vaude a l’habitude de proposer ses sacs de couchage en plusieurs tailles adaptées aux morphologies de chacun.

Dans cette gamme (Sioux), il existe 4 versions allant de la plus légère à la plus chaude : Sioux 100, 400, 800 et 1000 (le nombre correspondant au grammage de la garniture synthétique présente à l’intérieur) et chaque version sont disponibles en 3 tailles différentes (en théorie…) : S Syn, Syn et XL Syn dont voici les correspondances en cm :

  • S Syn : 200 cm de long, 75 aux épaules et 50 aux pieds, adaptés pour les personnes jusqu’à 170 cm.
  • Syn : 220 cm de long, 80 aux épaules et 55 aux pieds, adaptés pour les personnes jusqu’à 190 cm.
  • XL Syn : 235 cm de long, 85 aux épaules et 65 aux pieds, adaptés pour les personnes jusqu’à 205 cm.

Le premier modèle que j’avais reçu (le Sioux 400 Syn) m’avait paru légèrement grand pour mon petit 1m70, donc quand j’ai commandé le 2e (le Sioux 800 S Syn), je me suis dit que tant qu’à changer, autant prendre un format plus adapté à ma morphologie, ce qui me permettra de gagner en poids (forcément…) et d’éviter les pertes de chaleur dues à un trop grand volume inoccupé.

Ce choix fut plutôt gagnant sauf sur un point.

En effet, si la longueur du 1er modèle reçu me donnait l’impression d’être à Versailles, c’était évidemment moins le cas avec le modèle qui nous concerne aujourd’hui, mais il n’y avait rien de rédhibitoire à ce sujet, au contraire même puisque la longueur me convenait totalement.

Non, le problème venait plutôt de la largeur aux épaules…

Je suis du genre à beaucoup bouger la nuit et j’aime pouvoir me tourner (au moins pour me mettre sur le côté) DANS le sac de couchage SANS avoir à le tourner avec moi… Et malgré mes 50 petits cm de largeur d’épaule, malgré les 75cm disponibles, ce n’est pas possible, c’est trop juste.

Deux solutions s’offrent alors : soit vous acceptez le duvet comme une seconde peau et vous tournez avec dans la nuit, soit vous ouvrez la fermeture éclair sur quelques centimètres pour dégager de l’espace et vous pourrez gagner en amplitudes de mouvement.

Bien sûr, par nuit bien fraîche, on a envie de tout sauf d’ouvrir son sac de couchage… Mais avec une doudoune sur le dos ça fait plus que l’affaire (testé par mes soins 😀 ) !

Dans des conditions plus estivales, ce problème n’en est plus vraiment un parce que le fait qu’il tienne bien chaud nous fait chercher un peu de fraîcheur là où on peut en trouver, donc j’ai tendance à l’ouvrir !

Premières impressions :

Ce n’était pas très bon signe, mais un truc m’a frappé au déballage : sa taille ! Il est ÉNORME ! En effet… je vous laisse juger par vous-même en comparant avec le Millet Alpine LTK 800 (qui n’est pas vraiment compressé parce que sa configuration est diffèrente, il s’enroule dans sa « capuche » et ne se compresse donc pas très bien, mais ça s’optimise comme vous le verrez dans un prochain article !).

De gauche à droite : Joy (oui, c'est un vrai chien!), une bouteille d'eau, le sac Millet Alpine 800 LTK et le Vaude Sioux 800 S Syn
Remarquez que le Vaude ultra compressé prend autant de volume que le Millet qui n'est pas compressé (juste attaché avec sa sangle noir pour éviter qu'il se déroule) !

Une fois sortie de son sac de compression, la première mauvaise impression est atténuée par sa texture extrêmement douce et agréable au toucher, on sent qu’on n’est pas sur du produit « bas de gamme ».

Un monde sépare le vieux sac de couchage que je me traîne depuis des années et celui-ci, clairement !

On est loin du couple “poche poubelle/nylon/acrylique qui fait transpirer et qui fouette à l’intérieur” caractéristique des produits premiers prix.

Une fois déplié et mis à plat, le pouvoir gonflant de son garnissage est important et rend l’accueil moelleux et rassurant, vu de l’extérieur on a l’impression qu’on va dormir dans un nid douillet.

Si on oublie la petite difficulté à “engager” la fermeture éclair au début (je n’ai pas encore vu de système miraculeux sur ce point, c’est toujours un peu galère), elle finit par s’ouvrir et se fermer sans le moindre accroc. Elle descend également “assez bas” pour laisser la possibilité de se glisser à l’intérieur sans avoir besoin de 3 ans d’entraînement au Cirque du Soleil, c’est plutôt un bon point quand on a marché toute la journée, les courbatures qui vont avec et que les jambes pèsent 5 tonnes.

Se coucher dans ce duvet se fait le plus simplement du monde.

À l’intérieur, on y retrouve “presque” le même tissu qu’à l’extérieur, dans une teinte légèrement plus foncée et la technique Ripstop en moins (technique consistant à entrelacer les fils de tissu avec des fils de renforts à intervalles réguliers pour le rendre plus résistant face aux déchirures et autres accrocs), rendant la matière encore plus douce.

Une collerette anti-froid est présente à hauteur du cou pour empêcher la chaleur de s’échapper par la seule issue possible : la tête. A noter qu’elle est ajustable, tout comme la capuche.

On y retrouve également une poche zippée assez grande pour y glisser quelques effets personnels comme un portefeuille, un smartphone, des clés, etc.

Cousu sur le bord, on peut trouver un rappel des capacités thermiques du sac de couchage ainsi qu’un message en anglais et en allemand qui rappelle que dans des températures extrêmement basses, il faut s’attendre à ressentir de fortes sensations de froid et qu’en raison des risques d’hypothermie, notre intégrité physique n’est plus assurée… L’humour allemand fait des ravages !

Mais même si ça parait bateau, Vaude fait bien de le rappeler, car ce n’est pas parce qu’il est indiqué “-20°” en température extrême que vous ne risquez rien à -15° ! Règle d’or en randonnée : ne surestimez jamais votre matériel et encore moins vos capacités, jamais !

Enfin, son sac de compression ne paie pas de mine et reste simple. Ici, point de doublure douce et agréable pour le transformer en oreiller comme on peut le voir avec certains modèles de chez Millet. Les caractéristiques techniques inscrites au bout de celui-ci, une sangle de serrage pour fermer le sac et 3 sangles de compression disposées sur le pourtour, voilà pour l’essentiel. Concernant ces dernières, malgré leurs apparences chétives, elles sont solides ! Vous pouvez vraiment forcer dessus et serrer plus que de raison, elles encaissent sans broncher comme vous pouvez le voir sur les photos juste au-dessus qui comparent les tailles compressées et non-compressées.

C’est bien beau de nous dire à quoi il ressemble ce sac de couchage, mais… Dans le réel… Il vaut quoi ?

D’un point de vue “thermique”, en un mot comme en cent, il tient plus que la route ! Je n’ai jamais eu froid avec, c’est même l’inverse.

Je vais essayer de vous détailler les situations les plus fréquentes rencontrées avec ce duvet et vous donner le ressenti que j’en ai eu à chaque fois.

  • La première nuit avec lui se passe dans les mêmes conditions qu’avec le Vaude Sioux 400 Syn, c’est-à-dire chez moi, fenêtre ouverte, sur mon matelas de randonnée, début avril, température extérieure entre 10 et 15°… Exactement la même configuration, mais une quinzaine de jours plus tard.
    • Résultat : j’ai eu chaud, mais j’ai bien dormi ! C’était plutôt bon signe puisqu’il était censé servir lors d’un trek avec des nuits biiiieeeen plus fraîches.
  • En conditions réelles maintenant lors du trek de la Soule dans le Pays basque, fin avril, température moyenne des nuits entre 0 et -5° (voir moins…). Après une première étape de 3h30 de marche où il a fait très chaud, une première nuit très fraîche après avoir bien transpiré toute la journée…
    • Résultat : Nuit affreuse. J’ai eu beaucoup, beaucoup trop chaud ! J’ai fait l’erreur de dormir simplement en T-shirt et caleçon, du coup avec la transpiration des jambes je dégoulinais de sueur rendant la nuit de plus en plus inconfortable et il faisait vraiment trop froid dehors pour espérer entrouvrir légèrement le sac de couchage (dès que je le faisais, je gelais ! Pour rappel, il faisait -5° !). Au petit matin, je prends note pour plus tard : “prévoir une couche de vêtement sur les jambes pour absorber la transpiration” parce que ce n’est pas le tissu synthétique à l’intérieur qui va s’en charger !
  • La 2e journée sera très éprouvante, 7h30 de marche avec 80% du parcours sur le même flanc de montagne sous un soleil digne de la Vallée des Morts en Californie du début à la fin et des réserves d’eau vraiment trop légère pour l’occasion (gros BLÂME à nous-mêmes oui!). Sans compter une blessure au genou pour ma part, mes chaussures qui ne tiennent plus la route, etc. (mais on aura probablement l’occasion de vous en reparler). Bref… Une belle journée de Merde ! Heureusement que l’étape était magnifique. Et une bonne leçon d’humilité pour la suite.
    • Résultat : malgré des conditions semblables à la veille (grosse chaleur, transpiration, etc.) la nuit qui s’ensuivit sera heureusement meilleure que la précédente. Sans doute parce que nous étions abrités par des arbres, le froid extérieur était moins vif et glacial que la nuit précédente où nous étions en plein courant d’air, ce qui m’a permis d’ouvrir un peu le sac de couchage pour laisser rentrer le frais (parce que oui, j’avais toujours aussi chaud !).
  • Pour toutes les autres fois, j’ai retenu l’erreur que j’avais faite de dormir “jambes nues” et à partir de là j’ai d’abord prévu un petit jogging en coton qui m’a littéralement changé la vie (avant d’opter par la suite pour un collant) ! Malgré ce qu’on pourrait penser, j’avais finalement moins chaud grâce à lui puisqu’il jouait le rôle “d’absorbeur de transpiration” et l’empêchait donc de se propager dans le sac avant de s’accentuer et de devenir insupportable. Mes nuits sont devenues bien plus agréables ainsi.

Autre point appréciable que j’oublie de vous indiquer, il est très facile d’entretien (lavable en machine avec une balle de tennis) et il sèche vite ! Et au contraire du duvet, son garnissage en Sensofibre 3D ne se casse pas, du coup vous pouvez le stocker dans son sac de compression très longtemps sans qu’il perde son pouvoir gonflant.

Pour l’anecdote, j’ai longtemps voulu le vendre parce que je m’étais résolu à l’idée qu’il n’était clairement pas adapté à ma pratique à cause de sa taille, puis aussi parce que je lui avais trouvé un remplaçant avec le Millet Alpine 800 LTK, (le jaune fluo que vous pouvez voir sur les photos et qui prend plus de 2 fois moins de place que lui, qui pèse 2 fois moins pour quasiment les mêmes capacités thermiques mais qui coûte 3 fois plus cher, comme quoi… On a rien sans rien, sinon ce serait trop simple ! J’y reviendrai dans un prochain article) mais j’aime tellement sa matière, son toucher, son côté “cocon” et sa chaleur si douce et diffuse (quand on a compris comment l’utiliser) qu’il m’arrive même de dormir avec chez moi ! Il est vraiment confortable.

Verdict et conclusion :

Voilà, on arrive au terme de ce test et je crois qu’on a fait le tour de ce duvet Vaude Sioux 800 S Syn.

Pour conclure, je dirais que comme dans à peu près tous les domaines touchant la randonnée, il s’agit là encore d’une histoire de compromis à trouver en fonction des priorités de chacun. Le choix d’un sac de couchage ne déroge pas à la règle.

Concernant le produit en lui même, je ne regrette personnellement pas mon choix si on garde en tête les principaux critères que j’attendais de lui au moment de son achat. Critères qui étaient, je le rappelle : un poids plus léger que mon ancien sac (donc – de 2kg), des capacités thermiques en hausse (avec 2° en température confort et -3° en limite, on peut dire que le pari est réussi!) et surtout un prix qui ne m’oblige pas à casser mon PEL (de mémoire, je l’ai eu pour environ 60 ou 70€, ce qui, pour une grande marque “outdoor” comme Vaude est plutôt dans le bas du panier et il se trouve même à un prix encore plus intéressant ici).

Au regard du prix (encore lui), on ne peut lui tenir rigueur pour son garnissage 100% synthétique et pour son encombrement, même si pour le coup, je ne le conseille pas pour partir avec lui accroché au sac à dos, il est vraiment trop gros pour ça.

En résumé, si vous êtes de ceux qui aimaient partir avec votre “maison” sur le dos pour aller bivouaquer sur un sommet ou au bord d’un lac de montagne, je ne vous le conseille pas. Quand bien même ses capacités thermiques lui permettent de répondre sans problème à ses situations, son encombrement est vraiment trop handicapant pour l’envisager (j’ai pourtant essayé !).

Par contre, pour un usage “pas loin de la voiture”, dans un camping ou un refuge, là… Il donnera la pleine mesure de ses capacités sans vous faire subir sa taille outre mesure.

Et vous, vous utilisez quoi comme sac de couchage ? Plutôt synthétique ou duvet ? Vous êtes plutôt sac léger et « sac à viande » ou plutôt « total confort » même si c’est plus lourd ? Dites-nous tout 😉

Points positifs :

  • Capacités thermiques
  • Texture douce
  • Confort et accueil douillet
  • Facilité d’entretien
  • Qualité Vaude
  • Prix

Points négatifs :

  • Beaucoup trop GROS
  • Garnissage synthétique
  • Compressibilité pas géniale
  • Largeur aux épaules (en tout cas pour moi)

Peu importe le duvet, pourvu qu’on fasse la sieste ! « Joy 2018 »

Tom

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Tom:

Voir les commentaires (1)

  • Bonjour,

    Je tiens à vous féliciter pour votre article sur le sac de couchage Vaude Sioux 800 S Syn. J'ai trouvé votre analyse très pertinente et votre retour d'expérience très utile. Votre article m'a donné envie d'en savoir davantage sur ce produit et j'aimerais savoir si vous avez testé d'autres sacs de couchage de la même marque.

    Merci encore pour cet article intéressant !

    Cordialement.

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